Le mal de transport peut toucher n’importe qui, hommes, femmes, enfants, personnes en bonne santé en général etc. C’est un état de mal-être que l’on a du mal à contrôler.

Comment se traduit le mal de transport ?

Il se traduit par de la pâleur pour commencer, puis par une brusque sensation de fatigue, sans raison apparente, ensuite par des nausées qui se transforment souvent en vomissements. Et si rien n’est fait rapidement, le sujet peut souffrir d’hypothermie et ou d’hypoglycémie. Ce n’est donc pas un mal bénin mais bien un état qu’il faut lutter, de préférence avant même que les symptômes se manifestent. Le mal de transport a un nom scientifique : la cinétose qui peut être ressentie dès l’arrivée à l’aéroport jusqu’à l’arrivée à l’aéroport de destination. Mais ce mal peut se manifester aussi lors d’un voyage en voiture ou en bateau.

Comment faire face au mal de transport ?

La bonne nouvelle, c’est le fait qu’il est possible de lutter contre le mal de transport. Aussi, si on sait qu’on en est sujet, avant de partir en voyage, il vaut mieux faire un tour chez son médecin traitant. Le médicament qu’il prescrira sera certainement efficace si on le prend avant d’embarquer. Car une fois que l’on ait une crise, ce médicament n’a plus d’effet. Il y a toutefois d’autres mesures qui aident à lutter contre le mal de transport. Par exemple, on peut ne pas manger ni trop ni trop gras ni trop sucré, bref, manger léger avant et même pendant le trajet. C’est utile de chercher la position la plus confortable qui soit. Fermer les yeux est également très efficace contre la cinétose.

Le mal de transport chez l’enfant

Maintenant, les choses se corsent : le mal de transport frappe son enfant. Que faire pour l’aider, le soulager ? Tout se joue avant même le départ. Une bonne nuit de sommeil la veille, ou une sieste avant de partir peut l’aider à mieux supporter le voyage. Il vaut mieux qu’il ne soit pas fatigué au moment du voyage. On doit veiller à ce qu’il mange bien comme il faut avant le voyage, mais pas trop non plus évidemment. On peut lui donner des médicaments prescrits par le médecin, mais faire ces choses simples donnent aussi de bons résultats. Si vraiment une médication s’impose, l’homéopathie reste la meilleure option. Au final, l’homéopathie est la solution la plus intéressante pour quiconque souffre de la cinétose.

Des astuces pour ne pas souffrir de cinétose

Si on voyage en voiture et qu’il s’avère qu’on souffre du mal de transport, on peut essayer de fixer un point à l’horizon, hors du véhicule bien sûr. Cette simple action permet de détourner son attention de la sensation de mal-être qui commence peut-être à monter. En faisant l’effort de stabiliser son regard pour ne pas perdre de vue ce fameux point, ou en essayant de régler son champ de vision pour toujours l’avoir dans son collimateur, on lutte contre la cinétose et ça marche plutôt bien.